04 july 2013
News

Rencontres doctorales en droit social du 3 au 6 juin 2013

En coordination avec la chaire « État social et mondialisation : analyse juridique des solidarités » du Collège de France. En partenariat avec l'Université de Nantes.

Renouant avec une tradition interrompue il y a plusieurs années, l’Institut d’Etudes Avancées de Nantes a organisé, en coopération avec l’équipe de droit social de l’Université de Nantes, une rencontre de chercheurs et de doctorants en droit social. Les 2 premières journées, axées sur les travaux des doctorants, se déroulaient à Nantes. Les participants – enseignants-chercheurs et doctorants - ont prolongé leur rencontre en assistant au séminaire intitulé « Entretien sur les avatars de la solidarité » organisé au Collège de France les 5 et 6 juin sous la responsabilité scientifique d’Alain Supiot.

Participaient à ces rencontres des enseignants-chercheurs et chercheurs des équipes de droit social des universités de Paris 1 Panthéon Sorbonne, Paris 8, Bordeaux IV, Toulouse I, Rennes I, Nancy 2, Poitiers, Lyon 2, et Nantes, accompagnés de certains de leurs doctorants et postdoctorants (soit 31 doctorants). Etaient également présents des professeurs étrangers invités par l’Institut d’Études Avancées de Nantes et le Collège de France.


L’objet de ces journées était de permettre à un certain nombre de doctorants et de postdoctorants en droit social d’échanger sur leurs recherches, entre eux et avec des enseignantsleurs travaux en cours ; d’ouvrir l’horizon de recherche de ces doctorants aux travaux de spécialistes venus d’autres pays ou continents ; enfin de discuter des questions de méthode qui se posent aux différents stades de la conduite d’une recherche doctorale.


Les matinées ont été consacrées à la présentation et la discussion de leurs travaux par les doctorants au cours de quatre ateliers co-animés par des enseignants. Les après-midi étaient réservées à des tables rondes de droit comparé (l’une en anglais, l’autre en français) au cours desquelles des doctorants ont dialogué avec des enseignants étrangers à partir d’articles ou de textes fournis par ces professeurs. Enfin, des entretiens individuels avec les enseignants chercheurs français ou étrangers de leur choix avec lesquels ils avaient pris rendez-vous, donnaient la liberté aux doctorants d’approfondir les questions posées par leur thèse.